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LAVERNE : dossiers particuliers La déesse LAVERNA www.famille-laverne.fr

La déesse LAVERNA

LAVERNA, un mythe grec ? 
  Laverna est une déesse méconnue, aux origines obscures, citée par certains auteurs dans la mythologie grecque. A noter qu'une tasse portant l'inscription "Lavernai Pocolorn" a été trouvée dans un tombeau Etrusque

LAVERNA, une déesse romaine.

  Laverna était une divinité romaine qui protègeait les biens quelque soit la façon dont on les avait acquis. En raison de cette particularité, elle devint la protectrice des voleurs, des escrocs, des fourbes, et de manière générale de tous ceux qui s'approprient irégulièrement le bien d'autrui. Cet honneur, elle le partageait avec Mercure (dans un texte de Septimius Serenus, le nom de Laverna est mentionné en liaison avec l'enfer de Dieu).
  Laverna , qui fréquentait les lieux mal famés, accordait ainsi l'impunité aux bandits dont les opérations étaient associées à l'obscurité.
  Un autel, construit près de la porte de Rome, lui était consacré (de ce fait cette porte fut appelée Porte Lavernale) et aussi étrange que celà puisse paraître, les romains pourtant si judicieux dans leur lois, permettaient que ce temple serve d'asile aux voleurs.
  Il semble que l'on ne lui rendait pas un culte public, mais qu'au contraire on la priait en secret ou à voix basse (tel le galant dont parle Horace (Ep. I,16) : "O belle Laverne, dit-il, en remuant à peine les lèvres de peur d'être entendu.")
  Son aide était appelée par les voleurs pour leur permettre d'effectuer leurs plans avec succès. La coutume voulait alors que des libations lui soient adressées avec la main gauche.
  Un bois sacré lui était également dédié le long de la voie Salariennne et c'est dans ce lieu sombre que ceux qui vivaient de brigandage se donnaient rendez-vous pour partager ou cacher leur butin.
  Cependant la déesse ne recevait pas seulement les hommages des fripons. De nombreux gens honnêtes la priaient de les épargner "comme les braves et les gens de santé sacrifiaient à la Peur et à la Fièvre."
A la fin du sixième siècle, C. Titinius, édile plébien, fit bâtir auprès du temple de Tellus une chapelle à Laverna déesse des voleurs, avec les amendes prélevées sur les cuisiniers ambulants qui avaient vendu des viandes soustraites à l'inspection de l'édile. Ce petit monument fut probablement placé près de ce temple parce que lui même était voisin de la Saburra, quartier populaire et mal famé dont les bouchers devaient avoir vendu à bas prix des viandes suspectes aux pauvres gens qui l'habitaient. Ainsi Titinius fit graver sur le frontispice de la chapelle une inscription afin que personne n'ignorât qui avait fourni les deniers et à qu'elle occasion.
Dans ses études historiques sur "Rome pendant les guerres de Grèce et d’Orient" Chateaubriand rappelle que « les voleurs, les homicides et le reste avaient leurs protecteurs dans le ciel ».
  Ainsi cite-t il Horace (Horat., ep. XVI, lib. I) : « pulchra Laverna, da mihi fallere, da justum sanctumque videri » qu’il traduit par : « Belle Laverne, donne-moi l'art de tromper et qu'on me croie juste et saint »
La déesse LAVERNA est encore représentée par la dame de pique d'un jeu de cartes.


 


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